samedi 20 octobre 2007

JUSQU'Où VA LA SNEL ?


Dans les quartiers populaires, les abonnés de la SNEL ignorent leur droit. Il paie les factures de fois sans avoir du courant. S’il y en a, c’est un courant à plusieurs mutations : soit un courant faible exigeant aux clients de la SNEL à utiliser les blaises pour la cuisine ; soit un courant fort endommageant ainsi les appareils ménagers sans que personne n’aie l’idée d’aller demander dommage et intérêt auprès de cette société.
A cause des délestages, les gens qui ont de moyens s’achètent les groupes électrogènes qui inondent actuellement Kinshasa et nous nous posons toujours la question de savoir pourquoi tous ces groupes que nous voyons dans presque tous les magasins sur commerce alors que notre pays a des barrages dont Inga et Zongo ? Le délaissement de la SNEL aujourd’hui ne serait pas l’action de toutes ces sociétés fabricant des groupes afin de couler leurs marchandises ? Dans notre bureau, nous utilisons un groupe lorsqu’on a du carburant, mais les bruits ne permettent pas un bon climat de travail. Je me souviens en repondant à l’invitation de la radio allemand, j’étais obligé d’arrêter le groupe et accepter en montant lorsque le journaliste se rendait compte de la disparussions des bruits en croyant qu’un avion passait au dessus de moi.
Bien que possédant un groupe électrogène, nous ne savons pas travailler car n’ayant aucun appui institutionnel, l’achat du carburant pour notre Jeep et groupe nous est coûteux.
Ceux qui n’ont pas de groupe utilisent les bougies avec les incidents combien nombreux dans les quartiers.
Sur la rue, il y a lieu de se poser comme nous la question : où va la SNEL ?
Vous constatez les câbles qui brûlent à nues sur la rue et exposant ainsi les passants surtout en ce temps de pluie.
Aujourd’hui, en venant au bureau, sur avenue Kabambare une câble prenait feu, lequel feu se dirigeait vers la cabine. Que serait le dégât ? Sans les sapeur pompiers, il fallait que je prenne quelques garçons en se transformant nous même en sapeur pompier local avec les méthodes locales, en utilisant du sable ainsi le feu est maîtrisé.Jusqu’où va la SNEL ? Avec le mondialisation, l’opinion se pose la question de savoir si les multinationales oeuvrant dans le domaine du pétrole et les fabricants des groupes électrogènes n’y sont pas pour beaucoup ? Nous pensons que c’est question de responsabilité de nos dirigeants.

LA GESTION DES ORDURES, UN GRAND PROBLEME A KINSHASA

Nous étions surpris de suivre la reponse d'une question à l'émission "questions pour un champion" demandant la capitale la plus salle du monde et la réponse était Kinshasa. C'était avec honte que nous apprenions cette nouvelle, Kinshasa, jadis Kin la belle, aujourd'hui, Kin la poubelle. C'est vrai. Il suffit de surculer sur les rues des quartiers populaires pour s'en rendre compte. pourtant, nos maisons semblent être propres.
le grand problème est celui de la gestion des ordures.
Dans la commune de Barumbu où se trouve le bureau de notre organisation, nous avions organisé plusieurs rencontre réunissant à chaque instant l'autorité municipale, les chefs des quartiers, les notables, les responsables des associations des quartiers dites OCB, les responsables communales d'assainissement et d'hygiène de la commune afin d'étudier les stratégies pour remedier à cette situation qui provoque plusieurs maladies. Nous avons dans nos techniques de plaidoirie amener même l'autorité communale à prendre une décision rendant le ramassage des ordures obligatoir et systématique dans chaque parcelles moyennant une facture d'assainissement à la fin du mois. Ce qui crée l'emploi à une multitude de gens et en organisant les pousses pousseurs d'assainissement, ceux-ci créaient une coorpéraion. Mais, le projet toujours d'actualité, souffre par manque d'appui pour l'achat des matériels.
Nous nous activons par la conscientisation et la sensibilisation à chager les pratiques des populations. Cependant, les théories sans les dispositifs de pratique ne sont que des cubes d'eau qui coulent sur les plumes de la poule. Il n'y a pas un endroit pour le dépôt des transites. Les lieux susceptibles pour les décharges sont très loin et exégent les gros véhicules pour le transport de ces ordures.
La solution serait la valorisation de ces déchets par le recyclage.
L'autorité a placé quelques poubelles, mais le problème s'agrave car sans mécanismes d'évacuation. Pour une poubelle qui ne peut que contenir les déchets de deux foyers, on la place pour plusieurs rues sans dispositifs d'évacuation. Conséquence : tout le monde y dévercent et cela crée une colinne d'ordure à la place publique montrant bel et bien l'image de Kin la poubelle.A un certain moment, on met le feu sans tenir compte de la protection de l'échos système.